• Philosophie et humain, étude sur l'Homme.

 

 

 

L’Homme et la philosophie, la vérité et la logique. Trop d’ambition ? De rêve ?

 

L’univers existe depuis 15 milliards d’années. Un centième de seconde après le big-bang apparaissaient les particules atomiques, protons, neutrons, électrons (…) Tandis que les atomes se sont formées 300,000 ans plus tard … (Atomes d’hydrogènes, d’hélium …) Et sous la gravitation, ces nuages se condensent et donnent ensuite naissances aux premières galaxies dans lesquelles naissent les premières « proto-étoiles » Nous voici à 100 millions d’années après le big-bang. Quand à la terre qui elle, âgée de 4,6 milliards d’années, est à 10 milliards d’années, après le big-bang.

 

Quand à l’Homme (Avec un grand H) Il est enregistré comme étant âgé de plus de 2,8 millions d’années, la question est, est-ce que l’Homme peut devenir philosophe, ou l’est-il dans sa nature ?

Étant donné que les premiers philosophe (Zuang Zi, Socrate, Moïsme, Confucius …) Sont apparus 500 ans avant J.C. Et que Voltaire inventa en 1765 la « Philosophie de l’histoire », on peut conclure que oui, nous le sommes, même si elle résume l’amour de la sagesse, et la quête de la vérité, ces mots ne veulent pas classifié un certain ordre, par le simple fait que chacun à ses normes, et ses généralités sur ce qui plus tard est devenu la norme de cette généralité, celle de notre société. Nous avons tous, un point de vue sur la vie, qui est différent.

 

La vérité est ce qui, selon nous, résume l’histoire d’une vie. Nous qui sont au XXI siècles, la vie est plus différente de celle d’il y a 100 ans, nous évoluons, nous comprenons, nous créons, inventons, imaginons, vivons, mourons, nous avons adopté une généralité qui pourtant au début, nous était imposé. En ce siècle, il est difficile de penser par soi-même, et donc d’apprendre à réellement se connaître. Howard Hughes disait : Personne ne se connaît véritablement avant d’être rentré en soi-même.) Et il est vrai que dans une société où on nous éduque de sorte à penser comme ceci ou cela, rompt notre capacité à réellement penser et apprendre de nos capacités. De nos connaissances et de notre savoir. Alors, pourquoi vouloir suivre une généralité qui se dirige vers sa propre fin ? Nous sommes trop ouvert au monde, dû aux réseaux sociaux. Chaque continent est connecté, chaque personne l’est, personne ne peut vivre dans l’oublie, dans le secret de tous, plus personne n’a de secret. Mais quand chaque personne se regroupe, tous, il faut toujours qu’il y ait un gouvernant. Un Homme plus haut que les autres.

 

Selon une étude, l’Homme est un « animal » qui présente la particularité d’avoir besoin de contacts sociaux pour vivre et s’épanouir. Lorsqu’on y réfléchit bien, au cours de son existence l’homme ne devra faire face qu’à deux grands caps seul : sa naissance et sa mort. Entre ces deux grands événements il n’aura de cesse d’essayer de pallier à sa solitude. Parallèlement, de nombreuses expériences en psychologie sociales ont démontrées que l’amour est bien plus vital à l’Homme que ses besoins physiologiques de base et sa nourriture. L’amour serait donc un life moteur puissant et la solitude un élément destructeur. L’Homme a besoin de contacts sociaux.

De tout temps, l’homme a vécu en meute ou en groupe et son évolution n’aurait sûrement pas été la même s’il n’avait pu échanger et créer des relations interpersonnelles avec les autres. Comme disait Platon : « l’Homme est un animal social » : c’est en se mettant en relation avec autrui qu’il attire l’attention, se sent valorisé et reconnu. Les stimulations extérieures provenant des autres permettent au cerveau de l’homme de satisfaire son besoin de « nouveau ». En l’absence d’interactions, l’homme s’ennuie et dépéri. Le livre « Robinson Crusoé » ou le film « Seul au monde » mettent bien en évidence ce phénomène et les mécanismes de défense qui sont mis en place face à une solitude forcée. Une fois qu’ils ont compris qu’ils resteront isolés, les personnages principaux vont se fabriquer un ami de substitution. Ces leurres auront une fonction déterminante en leur permettant de pouvoir parler, d’extérioriser leurs angoisses et de se rassurer par une présence. Les échanges et le partage avec les autres sont donc des facteurs déterminants pour le bien être de l’individu.

Conscient de son existence ainsi que de sa vie qui n’est que passagère sur terre, l’être humain va constamment chercher à lui donner un sens. Il va poser des questions, chercher des réponses et accomplir des actes dans le but d’être heureux. Bien que certains d’entre eux trouvent leurs réponses dans une vie sociale épanouie ou une carrière réussie, la majorité des Hommes trouvent le bonheur auquel ils aspirent dans la rencontre de l’amour. Comme l’écrivait déjà Pascal à son époque : »l’Homme seul est quelque chose d’imparfait, il faut qu’il trouve un second pour être heureux ». C’est ainsi qu’en rencontrant sa moitié il va pouvoir résoudre l’éternelle équation amoureuse qui consiste en « un et un font trois » et trouver la réponse à sa principale question existentielle. C’est en construisant une famille qu’il donnera un autre sens à son existence et que malgré sa mortalité il laissera une place de son passage sur terre par le biais de sa descendance.

 

Est-ce la raison pour laquelle, un Homme se doit de se trouver au dessus de tous lorsque son épanouissement ne se trouve pas dans l’amour ? Est-ce dans notre évolution ? Vouloir se démesuré, se démarquer des autres, laisse en quelque sorte naissance à quelque chose qui nous échappait, L’immortalité par nos actes. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’un Homme est jugé par ce qu’il fait sur terre. On dis que l’Homme st bon au fond de lui, mais ça n’est pas ça, seul nos actes nous différencie du bien et du mal. Hors, un acte mauvais est souvent retenu hormis l’acte bon. On a tous appris, sans même le vouloir, l’existence de Adolf Hitler, de Napoléon, mais qui de nous a appris l’existence de John Edgar Hoover ou même de Howard Hughes ? La question de l’immortalité résume qu’un Homme peut, par ses actes, laisser sa trace dans l’histoire de l’humanité et ce même après sa mort, et ce durant des siècles encore. L’immortalité existe. Et je crois que chacun de nous cherche à l’être, peut-être inconsciemment mais, qui a envie de mourir en se disant que personne ne saura que l’on a un jour posé nos pieds sur terre ? Personne. Je crois aussi que la vie est devenue une bataille, qui arrivera à avoir le plus de « j’aime » sur Facebook ou même Instagram, qui aura le plus d’abonné, qui aura le plus de vu ? D’argent ? D’influence ? Mais dans tout ça, qui s’est réellement sentis vivant ? Qui a su se sentir réellement vivant ? Qui de nous a su compter de rien, que de soi ? Qui n’a compter sur une façon de penser non existante ? En réalité, la question est simple : Qui a su seulement vivre de sa façon ? De penser ? De voir le monde, la vie, la mort, l’Homme ? Qui n’a eu de besoin de vivre d’un point de vu déjà connu.

Ce qui est la cause de cette forme, c’est les distractions, la télé, l’ordinateur, les pubs, le téléphone, les marques, les produits industriels, les points de vus de chacun sur nos actes, nos rêves et nos cauchemars, les couleurs, les sons, la musique, la danse, tout est distractions, tout est de sorte à nous apprendre, nous enseigner. Nous faire oublier notre façon de penser. L’Homme s’écroule d’une façon voulue, tout ceci n’est que le résultat de nos actes et de tout ce qu’on n’a su calculé.

Le IXXè siècles était la mise en garde de notre fin, l’imagination du XXè siècles commença à nous condamné, et enfin le XXIè siècles est le résultat de ces mises en gardes. Nous aurions sûrement dû le voir, mais je crois que personne n’a réellement voulus le voir, nous avons nié ce qui allait être, vraisemblablement, être la réalité. Je pense que nous sommes né trop tôt, que nous avons évolué trop en avance sur notre temps et que nos créations tirées de nos capacités intellectuelles nous ont devancés ; Le pétrole, les énergies fossiles, la radioactivité, l’électricité, la nucléarité, l’or, le diamant mais surtout l’argent. Je pense aussi que l’Homme est trop envieux, qu’il a trop d’ambition, de désir, d’envie. Qu’il ne pourra jamais se contenter de ses prouesses, de ses créativités et créations. Il voudra toujours plus, toujours plus grand, plus haut. Mais c’est en agissant ainsi, qu’il se conduit lui-même vers sa propre fin.

 

Réalisé et écrit par Jessy William Lyon

 



Au final, anthropomorphisme ou ethnocentrisme ?

Dans une société où l'Homme,

contre sa seconde volonté,

se démuni d'un quelconque avenir,

est-il réellement avancé sur son temps ?

Où est-il réellement devancé,

par son intelligence et toutes ses créations ?

L’ethnocentrisme ou l’anthropomorphisme


Qui saurait nous dire depuis quand nous sommes ici, réellement.

Qui de nous pourrait oublier sa première blessure ? Son premier rire ? Qui de nous ne s’est jamais réellement sentis vivre, et même mourir ? Mais surtout, qu’est-ce qui nous blesse ? Qu’est-ce qui nous rend heureux ? Qu’est-ce qui a le don de nous anéantir ou de nous faire sentir vivre ? Pourquoi avons-nous peur, pourquoi avons-nous l’envie ? Le désir ? Le secret, la tentation ? Pourquoi sommes-nous attiré vers l’inconnu, vers la mort ? La vie ? Comment sommes-nous devenu ce que nous sommes, avons-nous voulu cela ? Ou vivons-nous seulement toutes les sommes de chaque chose que l’on n’a su calculer ? Qui aurait su prédire le futur …

Il y a longtemps, un sage a dit :

 

-Quand l’Homme ne savait rien, il a demandé au serpent de tout lui apprendre.

Le serpent l’a fait.

 

-Puis, l’Homme a demandé au tigre de tout lui apprendre.

Le tigre l’a fait aussi.

 

-Ensuite, l’Homme a demandé au hibou de tout lui apprendre.

Le hibou l’a fait.

 

-Le serpent a ensuite demandé au tigre s’il n’avait pas peur de l’Homme maintenant qu’il en savait trop. Le tigre lui a seulement répondu « Je suis triste pour l’Homme, car j’ai vu un trou dans ses yeux. »

 

Nous voudrons toujours plus grand et c’est ce qui nous rend triste, car nous ne pouvons nous contenter de ce que la terre nous a donné, il nous faut plus que cela.

 

En effet, nous vivons seulement les sommes de chaque chose que l’on n’a su calculer. Nous nous sommes condamné seul, par choix ? Non, par désir, mais je pense que nous étions conscient de tout cela. Nous disons tous que l’erreur est humaine mais, je pense que l’erreur a vu le jour lorsque l’Homme ait apparu. Nous sommes donc l’auteur de l’erreur. Mais rien de chaque avertissement qui nous ait donné ne nous fait ouvrir les yeux. Nous tombons en ivresse pour nos désirs, et je crois que personne en est conscient, il faut être conscient de notre fin car elle l’est, hélas, de nos actes. Notre société était fondée sur de bonnes bases et de bonnes intentions , mais comme le tigre l’avait dis, malgré tout cela, il y avait un trou. Nous en sommes depuis Adam et Eve, depuis notre arrivée, nos désirs nous conduits vers la fin de notre création, et chaque sacrifice, chaque vie qui est passée au trépas, chaque travail chevronné, chaque jouissance quand au résultat de nos actes ne seront que néant, poussière. Et nous nous rappellerons que nous n’avions jamais réellement su vivre. Que l’on a perdu notre vie à son premier jour.

L'ethnocentrisme : trait universel de l'humanité ? » »

L'anthropologie maintes reprises dans les sociétés et civilisations premières que la notion d'humanité est presque toujours restreinte au groupe d'êtres humains auquel l'individu appartient. Le plus souvent, le mot qui définit le concept d'être humain (ou hommes) dans la langue du groupe considéré ne concerne que les membres dudit groupe. Claude Lévi-Strauss estime même que « la notion d’humanité, englobant, sans distinction de race ou de civilisation, toutes les formes de l’espèce humaine, est d’apparition fort tardive », d'une part ; et que le rejet hors de l'humanité de tous ceux trop différents pour en faire partie est, paradoxalement, un trait de comportement universel, d'autre part.

Par ailleurs, la même attitude peut se rencontrer dans des groupes sociaux en position privilégiée telle par exemple l'aristocratie européenne : ainsi, le prince Metternich affirmait-il en 1815 qu'« en Autriche, l'homme commence au baron 

L'ethnocentrisme : le propre de l'ethnologue ?

En ce qui concerne les sciences humaines en général, et l'anthropologie en particulier, un auteur comme C. Geertz considère que, n'étant justement pas des sciences expérimentales à la recherche de lois, mais des sciences interprétatives à la recherche de sens, toute description implique un ethnocentrisme relatif mais inévitable. Pour Geertz, l'observateur (l'ethnographe) ne peut qu'essayer « de lire par-dessus l'épaule » de la population étudiée. Les linguistes « témoignant de leur lien d'étude à l'ethnocentrisme : si les groupes ethniques établissent les limites de leur identité aux frontières, et aux frontières du langage, transformant l'altérité en étrangeté, la plupart d'entre eux ont aussi cette capacité cognitive inverse de «  faire éclater cette fermeture du groupe sur lui-même, et de promouvoir la notion approchée d'une humanité sans frontières ». Ainsi les linguistes ont pu démontrer que la langue même, en ce qu'elle est une construction culturelle ségrégative, participe à cette tendance. Les anciens, déjà, en étaient conscients.

Ethnocentrisme et relativisme culturel

L’ethnocentrisme de l’anthropologue, de l’ethnologue, du membre d’une ethnie, d’une civilisation ou d’une confession quelles qu’elles soient, s’oppose au relativisme culturel. Ce relativisme culturel peut se manifester de trois manières différentes :

le relativisme culturel scientifique, pratiqué par la plupart des anthropologues et ethnologues actuels, ne hiérarchise pas les civilisations mais les étudie et décrit selon des critères objectifs (pratiques, récits, artefacts, témoignages) sans émettre de jugement de valeurs ;

Le relativisme culturel militant reconnaît à chaque culture, a fortiori contemporaine, le droit de disposer de ses propres valeurs sans avoir à se référer, voire s'inféoder, à des modèles extérieurs ; au nom de ce droit, il peut parfois dénier à tout observateur extérieur le droit d'exprimer des critiques sur telle ou telle pratique ou croyance, et considère de telles critiques comme de l'« impérialisme culturel »;

Enfin le relativisme culturel humaniste place les besoins fondamentaux de l'être humain au-dessus de toute culture, croyance ou particularité, et y enracine la légitimité des référents universels comme la démocratie, les droits de l'homme, les droits des femmes et les droits de l’enfant, la laïcité de la sphère publique, la liberté de l’informationle droit d'associationle droit à l'éducation, l'absence de toute discrimination basée sur les origines, le religion ou le sexe, le droit à la propriété… qui ne sont pas propres au « modèle occidental » et que toute culture se devrait d'adopter

 

Ethnocentrisme, trait universel de l’humanité, regarder par dessus l’épaule seulement pour définir où en est l’humanité

 

Une ethnie ou un groupe ethnique est une population humaine qui considère avoir en commun une ascendance, une histoire une culture, une langue ou un dialecte, un mode de vie ; bien souvent plusieurs de ces éléments à la fois.

 

L’ethnocentrisme est un concept ethnologique ou anthropologique qui a été introduit par W. G. Sumner. Il signifie « voir le monde et sa diversité à travers le prisme privilégié et plus ou moins exclusif des idées, des intérêts et des archétypes de notre communauté d'origine, sans regards critiques sur celle-ci»

 

L'anthropologie est une science, située à l'articulation entre les différentes sciences humaines et naturelles, qui étudie l'être humain sous tous ses aspects, à la fois physiques (anatomiques, biologiques, morphologiques, physiologiques, évolutifs, etc. ) et culturels (social, religieux, psychologiques, géographiques,

 

Le terme anthropologie vient de deux mots grecs, anthrôpos, qui signifie « homme » (au sens générique), et logos, qui signifie parole, discours. Elle constitue jusqu'au XIXe siècle une branche du savoir philosophique, mais avec la naissance des sciences sociales le terme change de sens pour désigner essentiellement la nouvelle science. La démarche anthropologique « prend comme objet d’investigation des unités sociales de faible ampleur à partir desquelles elle tente d’élaborer une analyse de portée plus générale, appréhendant d’un certain point de vue la totalité de la société où ces unités s’insèrent ».

 

Anthropologie et ethnologie nomment la même discipline. Historiquement, ces deux termes ont désigné des concepts différents : l'anthropologie était une science de la nature et l'ethnologie concernait le classement culturel puis « l'analyse comparée des mœurs et des institutions des sociétés traditionnelles ». Selon Marcel Mauss, il est possible de distinguer dans le métier d'anthropologue une phase ethnographique qui observe et collecte les faits, une phase ethnologique qui les analyse, et une phase anthropologique qui compare, synthétise et théorise. Mais pour certains anthropologues contemporains, ce découpage en deux moments n'est pas applicable dans la pratique : « toute ethnographie est déjà ethnologie, toute observation déjà interprétation ».

L'ethnologie reste cependant implicitement associée à l'étude d'un peuple déterminé, en général d'une société traditionnelle, et au travail sur le terrain, tandis que l'anthropologie étudie les faits anthropologiques, c'est-à-dire propres à l'humanité. Historiquement en France, jusque dans les années 1950, l'ethnologie s'occupait des sociétés primitives et on parlait d'anthropologie physique. Dans le monde anglo-saxon, c'est le mot anthropologie qui a été choisi pour l'étude des peuples primitifs, l'ethnologie étudiant leur histoire.

Depuis les années 1950, les expressions anglo-saxonnes « social anthropology » (en particulier britannique) et « cultural anthropology » (en particulier américaine) ont été assimilées par les chercheurs et tout le monde utilise le terme « anthropologie »

Anthropologie et sociologie

L'anthropologie se distingue de la sociologie dont l'objet n'est pas spécifiquement l'homme, mais les sociétés et les communautés, aussi bien humaines qu'animale

Anthropologie sociale et culturelle

Une fois débarrassé des courants historiques (racialismediffusionnismestructuralismeévolutionnismefonctionnalisme, etc.), le débat continue entre anthropologie sociale et anthropologie culturelle : même s'il s'est apaisé depuis les années 1980, la première est essentiellement européenne (écoles française et britannique) et la seconde américaine. Ces deux courants ne se sont jamais séparés, la distinction ne pouvant être qu'artificielle entre « une sociologie des peuples sans écriture d’un côté, une science de la culture privilégiant l’étude de l’art, du folklore, de la religion, du langage, de l’autre ». C'est Claude Lévi-Strauss qui a relativisé en pointant le fait que l'être humain est autant un animal social qu'un Homo faber (être culturel). Ainsi la différence entre les deux domaines ne serait qu'une question de point de vue. Il est nécessaire de distinguer la société de la culture, l'anthropologie est alors soit sociale soit culturelle selon que l'on prend la première ou la seconde comme concept central.

 

Finalement, « l'anthropologie sociale et culturelle prédomine en Europe, mais elle reste en concurrence aux États-Unis avec des approches naturalistes ».

 

Source ; Wikipédia